Sont présentés ici tous les somalis et abyssins, nés chez moi ou chez des éleveurs de confiance, qui sont devenus les pères et les mères de mes chatons.
Ils sont numérotés de 1 à 40+ parce qu’en 32 ans je ne me suis jamais contentée de faire des petits, d’en garder un/une pour faire la génération suivante. J’avais choisi de travailler MA famille, MA lignée, avec des chatons qui naitraient de parents, grand-parents et ancêtres vivant/ayant vécu chez moi. Cette décision reposait aussi sur le fait que le cadre sanitaire de l’époque ne pouvait être assuré qu’en évitant de faire des saillies extérieures. Peu de maladies étaient testables et je ne voulais prendre aucun risque. La disparition de Waldo m’avait marquée et je ne voulais plus vivre ce genre de deuil ni l’imposer aux futurs adoptants. Pour être sûre d’assurer à mes chats leur bonne santé, j’ai opté pour travailler en solo, même si cela impliquait de devoir gérer plusieurs mâles et femelles à la maison, sur plusieurs générations.
Cet effort m’a permis d’asseoir le tempérament hyper adorable et apprécié des Waldo’s (nom donné aux chats nés chez moi) par les adoptants, par les vétérinaires, et par les éleveurs en qui j’ai eu confiance pour leur céder un de mes petits. Quant à leur santé, mon choix s’est avéré efficace: pas de maladie chez moi ni chez les adoptants. Et lorsque les tests ont enfin existé, tous mes chats ont été testés négatifs. Ce qui fut, pour moi, un réel soulagement et une grande fierté.
Chaque photo vous permet, d’un simple clic sur elle, de visionner l’album du chat représenté.
Toutes les photos de cette page ainsi que celles de tous mes albums sont protégées par le copyright.
Aucune copie ne peut en être faite sans mon explicite autorisation.
Les * identifient les chats qui ont eu des chatons mais dont aucun n’est ancêtre des portées actuelles.
Il est possible, sur FB de visionner l’album « les ambassadeurs« pour avoir des nouvelles des chatons nés chez moi et semant plein de bonheur auprès d’autres familles.
En 1989, j’avais 25 ans, je tenais une boutique de fleurs. J’avais grandi entourée de chats, chiens, cobayes, tortues, oiseaux divers. J’adorais, c’est toujours le cas, les animaux et ne concevais pas de vivre sans.Une après midi, en faisant mes courses, j’ai vu MON chat, derrière la vitrine d’un animalier. J’ai craqué. J’allais acheter un chat. Faire mon premier pas dans un nouveau monde : celui du chat de race. Je l’ai appelé Waldo, comme le personnage du dessin animé du même nom: Waldo Kitty.
Deux merveilleuses années, le temps de se connaître, de s’attacher.
Une maladie l’a terrassé et m’a enseigné une leçon: quand on cherche un animal, il y a des précautions à prendre. Il ne suffit pas qu’il soit beau. Qu’il soit gentil. Il faut aussi qu’il soit né dans un environnement sain, où les humains auront pris soin de veiller à la santé de chaque chat…
« 1 » : Waldo n’aura eu aucun petit, ce n’était pas dans l’idée. Mais c’est lui le père spirituel de tous mes chatons. C’est pourquoi son prénom fait partie de mon affixe.
Aloxe est mon premier somali avec papiers. C’est lui que j’ai trouvé, après le départ précipité de Waldo.
Dès ces premiers jours avec moi, j’ai été très agréablement surprise de retrouver tout ce qui m’avait plu chez Waldo: la complicité, la tendresse, son regard profond, la douceur de son pelage… c’était magique.
J’étais enthousiasmée par son tempérament. Le décès de Waldo m’avait désespérée. L’amour et la présence d’Aloxe m’ont requinquée.
Et une petite idée a grandi… Waldo et Aloxe m’avaient donné la somalite…. Version très aigüe.
Désireuse de voir grandir des chatons somalis et de permettre à d’autres personnes de vivre le même bonheur, je me suis mise en quête de damoiselles pour mon bonhomme.